Amaroli : Boire son urine, en toute humilité.

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Boire son urine pourrait vous aider à guérir de votre maladie chronique. La thérapie par l’urine offre même plusieurs options : sur les problèmes de peau, sur les brûlures ou les plaies, en shampooing… il y en a même qui se l’injectent en sous-cutanée !

Et si le plus puissant des remèdes était produit par votre propre corps ? Simplement et gratuitement.

Est-ce une blague ?

Quand on est élevé dans une société qui nous enseigne que l’urine n’est rien d’autre que de dégoûtants déchets du corps, il est très difficile d’abandonner cet à priori.

verre d'alcool - dessin

Les selles et l’urine doivent disparaître au plus vite et il ne faut pas en parler !
C’est un tabou.

La médecine ayurvédique (médecine traditionnelle de l’Inde) préconise pourtant l’usage de l’urine depuis plus de 5 000 ans !

Le fait de boire son urine s’appelle Amaroli.

Cela vient du sanscrit « amar » qui veut dire immortalité. C’est pour dire le crédit attribué à cette pratique ! On peut également l’appeler Shivambu, qui signifie « Eau de Shiva », un dieu hindou.

Il nous est aujourd’hui devenu plus facile d’avaler des médicaments dont nous ignorons tout de la composition ou de la fabrication, que de considérer un quelconque bénéfice de remèdes plus « simples » et plus anciens.

Pourtant, dans d’autres cultures, ce geste est tout à fait naturel. Cette pratique, je le rappelle, est vieille de plusieurs milliers d’années !

Et il existe encore aujourd’hui de nombreux adeptes :

Allemagne : 10 millions d’adeptes
Japon : plus de deux millions de personnes
Corée du Sud  : 1 million de personnes
Taïwan : 200 000 personnes

Ces chiffres sont peut être contestables, mais ils invitent à la réflexion.

Des congrès mondiaux

Il existe même des congrès internationaux autour de l’urine :

  • Inde – 1996
  • Allemagne – 1999
  • Brésil – 2003
  • Corée du Sud – 2006
  • Mexique – 2009
  • États-Unis – 2013
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Des centaines de scientifiques et médecins se regroupent et partagent leurs expériences. Ça ne prouve rien, bien sûr, mais une fois encore, on peut s’interroger.

Mais… quand on boit son urine, on crée un circuit fermé ? !

Quand on boit son urine, on pourrait croire que l’on crée un circuit fermé et que votre urine va être de plus en plus concentrée.

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En fait, pas du tout ! Comme tout ce que l’on mange ou boit, l’urine va traverser l’estomac pour aller dans les intestins. Ensuite, le corps peut choisir d’absorber cette eau et de piocher les composants qui lui plaisent. Ces derniers se retrouvent ainsi à nouveau dans le sang. Ce que le corps ne veut pas sera éliminé par les selles.

Trop de gens s’affolent parce qu’ils ne comprennent simplement pas que l’intestin grêle a une perméabilité sélective et ne laisse pas entrer dans le sang les substances qui doivent être éliminées. Comme pour tout ce que nous buvons et mangeons.

Bien sûr, certaines pathologies altèrent la perméabilité de l’intestin, tel que le syndrome de l’intestin irritable. Pourtant, même dans ce dernier cas, boire sa propre urine n’est pas dangereux.

Comment ça marche ?

Quand on boit son urine, on remet dans le sang des composants qui ont été précédemment filtrés et éliminés. Cela ne semble à priori pas une bonne idée…

Pourtant, ça marche.

Et il faut l’avouer, on ne sait pas encore bien comment.

La composition de l’urine varie suivant ce que vous mangez, mais également suivant votre état de santé et votre maladie. C’est ce qui la rendrait si efficace : elle contiendrait en permanence les bons ingrédients pour vous guérir.

Bon, ce n’est pas prouvé, mais j’aime cette idée.

On peut par exemple imaginer que boire son urine permet, d’une certaine façon, au corps d’obtenir un meilleur « feedback » de son état de santé, et lui indique comment guérir.

Pour les problèmes d’insuffisance rénale

Lorsque les reins ne fonctionnent pas correctement, ils laissent s’échapper des vitamines, hormones et minéraux dont le corps à besoin. Réabsorber ces éléments permet de palier, d’une certaine façon, au problème.

Contre le cancer

La nuit, notre glande pinéale produit une hormone appelée mélatonine. On sait aujourd’hui que cette hormone permet de lutter contre le cancer1. Or la mélatonine est rejetée par le corps avec l’urine du matin.

content au lit - bien dormi - comic

Boire son urine du matin2 (ou au milieu de la nuit) permet donc de réabsorber la mélatonine et d’en amplifier les effets ! C’est pourquoi il est important de boire de préférence l’urine du matin (même si c’est malheureusement souvent la plus concentrée).

L’urine possède de plus une activité anti-bactérienne3 et anti-virale4 (grâce aux sels d’ammonium).

Contre les blessures et brûlures

En plus d’être anti-bactérienne et anti-virale, l’urine contient de l’urée ainsi que des facteurs de croissance qui stimulent le dépôt de collagène dans les blessures et brûlures.

Que contient l’urine ?

  • eau (95 %)
  • urée (2,5 %)
  • sels minéraux
  • enzymes
  • hormones (sexuelles, surrénales et thyroïdiennes)
  • anti-corps
  • vitamines

Le corps n’en a peut être plus besoin, mais ce n’est pas exactement l’idée que l’on se fait des déchets du corps. Vu comme ça, ce n’est pas si dégoûtant !

Et puis n’oublions pas que l’urine n’est pas le seul mode d’élimination des déchets. Il y a également la bile, qui contient les toxines du foie (alcool, drogue, médicaments…). Ces dernières seront rejetés via les selles.

L’urine est-elle stérile ?

Attention, je vais briser un mythe.

On a longtemps cru que l’urine était stérile (à l’exception des infections urinaires). En fait, il s’avère que c’est n’est pas tout à fait exact : l’urine n’est pas complètement stérile5.

Cela n’enlève cependant rien au fait qu’utiliser votre urine ne présente aucun danger.

Ce que dit la science

Bon, essayons de garder les pieds sur terre. Que dit la science exactement ?

Voici quelques applications vérifiées par la science :

  • Appliquer la première urine du matin sur la peau permet de soigner l’acnée6.
  • Appliquer des compresses d’urine permet d’améliorer la cicatrisation en cas de plaies et brûlures78.
  • L’urokinase permet de détruire les thromboses9 (caillot se formant dans un vaisseau sanguin et l’obstruant).
  • L’urée lutte contre l’hyponatrémie10 (manque de sodium dans le sang) : l’apport d’urée permet de diminuer la quantité de sodium excrétée par l’urine.
  • La thérapie par l’urine permet de lutter contre le cancer1112, notamment grâce à l’action de la mélatonine.

Une étude sur des souris13 ayant un mélanome a étudié l’effet de la thérapie par l’auto-urine :

La différence de volume des mélanomes entre le groupe témoin et le groupe traité à l’auto-urine.

Le groupe traité a montré des tumeurs dont le volume était réduit !

Bon, il faut quand même l’avouer, il y a assez peu de publications d’études importantes sur la thérapie par l’auto-urine.

Probablement parce que cela ne rapportera jamais d’argent…

Mais il ne faut peut être pas se contenter de regarder du côté de la recherche.

Les publications

Au delà des études sérieuses, il y a quand même, il faut l’avouer, un bon nombre de publications !

  • En 1906, James Wilson (Belfast) décrivait les propriétés bactéricides de l’urée.
  • Dans son livre « Auto-urine therapy », de 1934, le Dr. Martin Krebs (Allemangne) décrit avoir utilisé des injections intramusculaires d’urine et a constaté des améliorations remarquables pour des allergies, asthme, migraines et eczémas.
  • La même année, le Pr. R. Tiberi (Italie) écrit que le Pr Silvestrini a utilisé, avec succès, des vaccins d’urine dans des cas de néphrite.
  • En 1935, le Dr Garotescu (Roumanie) publie une étude où des patients ont été traités avec succès pour des cystites par injection de leur propre urine.
  • En 1936, une étude américaine montre que l’urée détruit les protéines des virus de la polio et de la rage.
  • En 1944 fut publié le livre le plus célèbre sur le sujet : « The water of life » de John Amstrong (naturopathe britannique).
  • En 1951, une étude (Suède) montre que l’urine permet de bloquer (in vitro) la croissance des bacilles de Koch (tuberculose).
  • Etc.
En train de lire des livres - comic

Ce que disent les témoignages

Si j’en crois tous les témoignages que j’ai pu lire, l’urine serait la panacée :

  • Rhume
  • Cancer
  • Allergies
  • Troubles hormonaux
  • Maladies de la peau
  • Maladies pulmonaires
  • Maladies auto-immunes
  • Troubles digestifs
    • Intestins irritables
    • Constipation
  • Rhumatismes
  • Tuberculose
  • Paludisme
  • Insuffisance rénale
  • Gangrène
  • Stérilité
  • Ulcères
  • Verrues plantaires
  • Amibiase
  • SIDA
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Les témoignages ont la valeur que l’on veut bien leur accorder…

Moi, je leur concède volontiers le bénéfice du doute ! Mais le problème est toujours le même : combien de personnes ont dû essayer pour que l’une d’entre elles expérimente un miracle ?

La pratique

Finalement, on pourrait passer des heures à se demander si boire son urine va nous aider à aller mieux ou non. Ou bien alors on essaye et on voit ce que ça donne !

C’est simple, gratuit, et sans danger. Alors, on essaye ?

Boire son urine

Beaucoup de gens sont repoussés par l’idée de l’urine parce qu’ils pensent à cette odeur nauséabonde qui se dégage parfois des toilettes publiques. Cette odeur est propre à l’urine qui est resté longtemps en contact avec l’air. Mais l’urine fraîche est beaucoup plus délicate.

Il n’y a plus qu’à se lancer ! On pisse dans un verre et on boit le tout !

Si vous ne vous sentez pas prêt à avaler, vous avez toujours l’option de recracher. Ce n’est pas grave.

Bien que vous pourriez boire directement l’ensemble de votre urine, l’idéal est d’y aller graduellement :

  • peut être un bain de bouche pour commencer (et recracher)
  • puis boire quelques gouttes
  • puis un demi verre
  • puis un verre
  • etc.

Prenez le temps de vous familiariser avec cette pratique. Il n’est pas facile de renverser des répulsions profondément encrées.

Vous pouvez ne boire que la 2 ème ou 3 ème urine du matin si la première est trop forte (ou la diluer avec un peu d’eau, ou dans un jus de fuit).

Après quelques semaines vous pourrez prendre trois à quatre verres d’urine par jour, voire même la totalité de ce que vous émettez.

Quand on choisi de se guérir par l’urine, il ne s’agit pas de mettre en place une posologie bien précise. Il s’agit au contraire d’être à l’écoute de son corps et d’adapter sa consommation à son ressenti. Laissez vous guider !

Si par exemple vous observez des symptômes d’élimination trop intenses (voir plus loin), vous pouvez alors diminuer la quantité.

Le goût est parfois léger et agréable, un peu comme une tisane ou un bouillon de légumes. D’autant que c’est tiède ! D’autres fois c’est… plus repoussant ! Il est très impressionnant de voir comme le goût peut fortement varier d’une fois sur l’autre, en fonction de ce que l’on mange ou de ce que le corps décide de rejeter.

Amaroli est, avant tout, un dialogue avec son propre corps. Établissez progressivement cette communication afin d’éviter le blocage.

À quoi s’attendre

Certaines personnes ne ressentiront rien, d’autres une petite fatigue, d’autres des boutons d’acné, d’autres des réactions d’élimination plus marquées (furoncles, fièvre, rhume, diarrhée ou autres). Ces crises sont généralement bon signe et il ne faut pas s’en inquiéter.

N’essayez pas d’arrêter ces symptômes avec des médicaments. La réaction du corps correspondent à un processus de guérison primordial. Si vous l’arrêtez, vous enfouissez vos problèmes au lieu de les régler, et c’est ainsi que l’on se retrouve avec des pathologies chroniques. Arrêter les symptômes, c’est un peu comme mettre la poussière sous le tapis au lieu de l’évacuer correctement. De plus, médicaments et Amaroli sont incompatibles, mais je reviendrai sur ce point.

En cure

La cure consiste à boire le plus possible de son urine pendant quelques jours. Cela va activer des mécanismes d’élimination intenses du corps.

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En massage

L’urine peu s’utiliser en massage sur la peau. Par exemple sur de l’eczema, des boutons ou autre problème de peau. Utilisez de l’urine fraîche, dont l’odeur est moins forte.

On peut également le faire pour avoir une jolie peau ou éviter les rides !

Si votre urine ne sent pas ou très peu, vous pouvez la laisser sécher et personne ne s’en apercevra ! Ne vous rincez que si vous constatez une odeur désagréable.

Il paraît même que l’urine protège contre les agressions du soleil.

Un grand nombre de cosmétiques sont fabriqués à base d’urée.

En compresse

On peut aussi faire des compresses. Pour par exemple cicatriser une blessure ou une brûlure. D’une part, l’urine possède une activité antibactérienne et antivirale, et de l’autre, elle stimule la formation de collagène (réparation des tissus).

Cela fonctionne également pour les piqûres d’insectes (moustiques), ou morsures de serpents.

Sous la peau (injection)

Certains praticiens de 20 ème siècle utilisaient des injections intramusculaires ou sous-cutanées de l’urine du patient. Il parait que cela était très efficace, mais je ne suis pas sûr de vouloir approfondir le sujet…

En lavement

Il est possible de faire des lavements à l’urine. Ajoutez 3 à 4 verres d’urine dans 2 litres d’eau.

kit de lavement
kit de lavement

Autres usages

  • En gargarismes
  • En bains de bouche (on peut garder l’urine dans la bouche jusqu’à 10 à 15 minutes, matin et soir)
  • En nettoyage nasal (aspirer l’urine par le nez)
  • En bains d’yeux (avec une pipette ou un récipient)
  • En bains de pieds
  • En shampooing (massage du cuir chevelu)

À croire qu’ils ont tout essayé !

Adapter son alimentation

Ce point est critique.

Boire son urine ne doit pas être un démarche isolée. Si vous buvez votre urine mais que vous gardez une mauvaise hygiène de vie, cela peut même s’avérer contre productif.

Il faut idéalement réduire sa consommation de viandes. Ne mangez pas trop riche, ni trop transformé. Bref, mangez sainement ! (beaucoup de fruits et légumes) Si votre urine a un goût trop salé, vous pouvez également diminuer votre consommation de sel.

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Avec le jeûne

De nombreux praticiens proposent de jeûner tout en buvant son urine. Il parait que les effets sont plus puissants que le jeûne seul. Pour ma part, je n’ai pas encore essayé, mais pourquoi pas !

Si vous souhaitez en savoir plus sur le sujet du jeûne :

Comme le dit Armstrong dans son livre « Water of life », vous pouvez guérir plus vite avec dix jours de jeûne à l’urine qu’avec un verre d’urine par jour pendant trois mois !

Contre-indications

Ne pas boire son urine si vous prenez des médicaments. C’est très important. Vous réabsorberiez potentiellement une surdose des molécules contenues dans les médicaments. C’est la seule véritable contre-indication.

Cependant, cette pratique est également déconseillée dans des cas suivants :

  • tabagisme
  • consommation d’alcool
  • consommation d’aliments trop riches en graisses et en protéines

Il existe peu d’études sur le sujet, mais ni les infections urinaires ni aucune autre maladie ne semblent être des contre-indications.

Ni les règles.

Il parait même que les enfants et femmes enceintes peuvent boire leur urine sans risques.

feu vert

Vous entendrez probablement des sons de cloches différents. Et il est triste de constater que ceux qui décrient cette pratique n’y connaissent rien et ne l’ont jamais essayée.

La composante psychologique : un acteur insoupçonné

Boire son urine, peut, pour certaines personnes, représenter une profonde transformation psychique. En effet, ce geste signifie :

  • que vous faites confiance à votre corps pour vous guérir
  • que vous mettez de côté certains enseignements pour prendre votre propre chemin
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Vous entrez alors dans une démarche de remise en question des dogmes acquis. Et si ce que vous pensiez être un poison est finalement un médicament ?

Inversement, vous accordiez peut être parfois une confiance absolue dans certains médicaments qui vous causaient plus de tort que de bien.

Amaroli est une pratique vieille de 5 000 ans. Pourquoi préférons nous accorder notre confiance dans des produits de laboratoires dont nous savons finalement que si peu de choses ?

La qualité de l’eau

Finalement, l’urine, c’est un peu comme de l’eau filtrée.

Pensez-y.

L’eau du robinet contient des perturbateurs endocriniens (pesticides), du fluor, de l’aluminium… En absorbant cette eau, les intestins font un travail de filtrage et la plupart de ces substances nocives seront évacuées par les selles. Mais pas totalement. Nous absorbons également une partie de ces substances.

Si l’urine contiendra finalement certaines de ces substances, ce sera en bien moins grande quantité que l’eau du robinet. Vous faciliterez alors le travail de filtrage des intestins pour les produits les plus nocifs.

Mon expérience avec l’urine

Quand c’est simple, gratuit, et sans danger, on a plus vite fait d’essayer que de rechercher la vérité dans les études ou les livres. Et c’est ce que j’ai fait ! Et je n’en éprouve aucune honte.

Je dois avouer que ce n’est pas le première fois que j’essaye de boire mon urine. Je l’ai déjà fait un an auparavant, pour les mêmes raisons, et je n’avais pas constaté beaucoup de changements… mais je ne suis pas du genre à rester sur un échec.

Alors j’ai voulu réessayer. Et j’ai bu mon urine.

Franchement, pas de quoi en faire tout une histoire. C’est un geste simple et le goût n’est pas si terrible. C’est plus un problème de barrière psychologique pour les gens coincés.

Moi avec un verre d’urine

Au début, j’ai eu quelques boutons d’acné. Mais bon, 3 boutons en 2 semaines, c’est pas très significatif. Ensuite… pas grand chose. Alors j’ai augmenté les doses. Et là, j’ai eu quelques diarrhées. J’ai également senti que je perdais mon appétit. Comme si mon corps voulait se nettoyer et me faire jeûner. Mais ce n’était pas le moment de jeûner pour moi alors je ne l’ai pas écouté. Je savais que ça serait beaucoup plus efficace de jeûner, mais j’avais besoin de garder des forces physiques et psychologiques à ce moment là.

J’ai été fasciné de voir à quel point l’urine peut changer de goût et d’odeur avec le temps ! J’ai déjà pour habitude de regarder de temps en temps mes selles. Tout ce que nous éliminons nous donne de précieuses informations, alors pourquoi les ignorer ?

Je remarque ainsi aisément le moment où j’ai consommé trop de sel. Et lorsque mon urine a un goût salé, ce n’est vraiment pas bon. D’ailleurs, à une époque, le goût sucré de l’urine servait de diagnostique au diabète.

Mon astuce : utiliser un grand verre pour éviter d’avoir à interrompre le jet, ce qui n’est pas très plaisant.

Et vous, que pensez-vous des pouvoirs de l’urine ? Êtes-vous prêts à essayer ?

  1. Melatonin for the prevention and treatment of cancer
  2. Melatonin supplementation from early morning auto-urine drinking
  3. Antibacterial activity of human urine
  4. Antiviral activity in urine is attributable to ammonium salts.
  5. Urine Is Not Sterile : Use of Enhanced Urine Culture Techniques To Detect Resident Bacterial Flora in the Adult Female Bladder
  6. EFFECT OF AUTO URINE (PATIENT’S SELF URINE) ON ACNE CAUSING BACTERIA
    « PROPIONIBACTERIUM ACNES ».
  7. Research Journal of Pharmaceutical, Biological and Chemical
  8. USE OF UREA IN DISEASES OF THE EAR, NOSE AND THROAT (1937)
  9. Urokinase therapy of subclavian-axillary vein thrombosis
  10. Treatment of the syndrome of inappropriate secretion of antidiuretic hormone by urea
  11. Urine therapy in Ayurveda : Ancient insights to modern discoveries for cancer regression
  12. Urine Therapy Prevents Early Bed Sore
  13. Urine therapy in Ayurveda : Ancient insights to modern discoveries for cancer regression
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5 réflexions sur « Amaroli : Boire son urine, en toute humilité. »

  1. Bonjour Pour moi impossible vu que je prends un traitement destinée à réduire mes troubles urinaires liées à une sclérose en plaques. Cet article me rappelle ma 1ère consultation au CHU d’un neurologue qui m’avait dit : « internet est votre pire ennemi !!! On vous donne des conseils délirants pour guérir de la sclérose en plaques comme le fait de boire ses urines ! » :))

  2. Bonjour, Stéphane, et merci beaucoup de ce super article !
    Je pratique depuis presque 20 ans (j’en ai 66) et peux témoigner des nombreux bienfaits d’Amaroli.
    J’ai eu la chance pendant les premières années de bénéficier des conseils d’un médecin naturopathe qui en était adepte aussi.
    Les principaux effets positifs évidents sont pour moi le soin de la peau (j’en ai une qui cicatrise spontanément très mal …) :
    petites blessures, coupures, gerçures, coups de soleil, … se résorbent rapidement par application d’urine.
    La douleur des coups de soleil par exemple disparaît quasi instantanément !
    Pour les autres bienfaits, il m’est plus difficile de faire la part des chose entre l’urine et mes autres pratiques d’hygiène quotidiennes, comme par exemple le yoga, une alimentation réduite et saine, …
    Depuis donc presque 20 ans, je mets tous les matin une goutte d’urine (il est conseillé de la diluer, mais je ne l’ai jamais fait)
    dans chaque oeil et je n’ai pour l’instant aucun besoin de lunettes !! (je rappelle que j’ai 66 ans)
    Et pour le reste, je suis en excellente santé, les postures de yoga sont de plus en faciles pour moi
    (contrairement à ce que disent beaucoup de personnes de mon âge), il ya 2 ans j’ai fait un grand périple de 2 mois à pied
    (moyenne 20 km/j avec sac à dos en autonomie).
    Juste un petit bémol sur votre article : je n’ai jamais été directement concernée par la question d’ingérer des drogues (médicaments, alcool, tabac, …) mais le médecin naturopathe que je consultais disais qu’au contraire il était tout à fait bénéfique de pratiquer Amaroli, que cela permettait au corps de mieux « réguler » la digestion de ces substances … information à creuser donc !
    Merci encore, je vais faire passer l’info !
    Isabelle

  3. Je pratique depuis une vingtaine d’années. Extérieur intérieur. Mon rein droit était en train de partir. Il est en bonne santé aujourd’hui et plein d’autres choses.
    Je me sens rassurée avec mon urine.

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